Jeanne
Je suis une voyageuse, cinéaste, écrivaine et professeure de film documentaire passionnée. Ma devise est DIY – "Do It Yourself - Faites-le vous-même - inventez, exprimez, créez et n'abandonnez pas! "
Je travaille actuellement au Collège multimédia du Beijing Film Academy à Qingdao, en Chine, en tant que professeure associée. J’y enseigne la production de le documentaire au département de cinématographie.
J'ai quitté l'Angleterre à 16 ans. J'ai fait de l'auto-stop à travers le monde, enseigné l'anglais en Turquie, peint des maisons en Catalogne française, travaillé dans des restaurants en Australie, travaillé la terre en Grèce et me suis mariée en Iran. J'ai publié diverses nouvelles inspirées par ces voyages dans le monde, avec l'aide de mon cher père, Marius. Certaines ont été adaptées au cinéma, au Canada. Je suis finalement arrivée à Montréal en 2000 avec ma fille, Alyosha.
Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’un tournage de film impliquait. Je savais seulement que j'aimais les histoires et les récits et que j'étais fascinée par cet univers. J'ai alors découvert que je pouvais faire un baccalauréat en production cinématographique. J’ai obtenu mon diplômé à l'Université Concordia après avoir réalisé un travail considérable sur mon très cher ami , le sculpteur montréalais Stanley Lewis: Où est Stanley? et Birth of the Smoked Meat qui porte un regard original sur la gastronomie juive montréalaise. Ce film a remporté le prix Kodak Imaging du meilleur réalisateur et a été présenté au Festival de Cannes en 2007. Ces films ont été suivis par Berson Boys et Up and Down the City Road.
À la mort de Stanley en 2006, j'étais en train de terminer ce qu'il a toujours appelé "le grand -mon film": Poussière : le Voyage d'un Sculpteur , mon premier long métrage, dans lequel Stanley se confronte avec sa mortalité et une vie de rêves non réalisés. Ce film a été présenté à HOTDOCS en 2011, au FNC et dans d'autres festivals au Canada et à l'étranger.
Puis, j'ai rencontré Deanna Sabo, une femme atteinte de trouble bipolaire vivant avec son amant Gordon dans une maison de transition à Montréal appelée Chez Lise. Avec un ami de longue date, James Galwey, nous avons coréalisé mon deuxième long métrage, Chez Lise, en 2013. Ce film relate l’histoire de Deanna et Gordon, tous deux atteints de maladie mentale grave. Chez Lise a remporté le premier prix du festival du film de Liège pour la santé mentale.
Depuis 2015, j'habite en Chine, où j'enseigne le documentaire à l'Académie du Film de Beijing, au campus de Qingdao, où je suis aussi mentor. Je donne des cours sur les documentaires au niveau de la première et la deuxième année d’étude. J'ai également encadré Helena avec son film Jean et Tao Gu avec Taming the Horse, qui a remporté de nombreux prix à travers le monde - voir site web: www.tellastoryfilms.com
Mon dernier long métrage, The Sea Hut, une coproduction chinoise, est en post-production et devrait être terminé à l'hiver 2018.
Je continue à travailler sur les archives de Stanley Lewis qui sont hébergées sur le site web Stanley Lewis, assistée d’Andrew Bailey, dans l’intention de rédiger un livre, car Stanley m’a donné le droit d’utiliser ses œuvres, ses paroles et ses supports avant sa mort. (À l'heure actuelle, le site web est uniquement en anglais). Ce sera une archive exhaustive sur Stanley Lewis, car à sa mort j’ai sauvé le plus possible de son atelier et de des effets personnels qui avaient été jetés si cruellement sur le trottoir. Mais ceci, bien sûr, est une autre histoire, à raconter plus tard, beaucoup plus tard.
Je suis une voyageuse, cinéaste, écrivaine et professeure de film documentaire passionnée. Ma devise est DIY – "Do It Yourself - Faites-le vous-même - inventez, exprimez, créez et n'abandonnez pas! "
Je travaille actuellement au Collège multimédia du Beijing Film Academy à Qingdao, en Chine, en tant que professeure associée. J’y enseigne la production de le documentaire au département de cinématographie.
J'ai quitté l'Angleterre à 16 ans. J'ai fait de l'auto-stop à travers le monde, enseigné l'anglais en Turquie, peint des maisons en Catalogne française, travaillé dans des restaurants en Australie, travaillé la terre en Grèce et me suis mariée en Iran. J'ai publié diverses nouvelles inspirées par ces voyages dans le monde, avec l'aide de mon cher père, Marius. Certaines ont été adaptées au cinéma, au Canada. Je suis finalement arrivée à Montréal en 2000 avec ma fille, Alyosha.
Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’un tournage de film impliquait. Je savais seulement que j'aimais les histoires et les récits et que j'étais fascinée par cet univers. J'ai alors découvert que je pouvais faire un baccalauréat en production cinématographique. J’ai obtenu mon diplômé à l'Université Concordia après avoir réalisé un travail considérable sur mon très cher ami , le sculpteur montréalais Stanley Lewis: Où est Stanley? et Birth of the Smoked Meat qui porte un regard original sur la gastronomie juive montréalaise. Ce film a remporté le prix Kodak Imaging du meilleur réalisateur et a été présenté au Festival de Cannes en 2007. Ces films ont été suivis par Berson Boys et Up and Down the City Road.
À la mort de Stanley en 2006, j'étais en train de terminer ce qu'il a toujours appelé "le grand -mon film": Poussière : le Voyage d'un Sculpteur , mon premier long métrage, dans lequel Stanley se confronte avec sa mortalité et une vie de rêves non réalisés. Ce film a été présenté à HOTDOCS en 2011, au FNC et dans d'autres festivals au Canada et à l'étranger.
Puis, j'ai rencontré Deanna Sabo, une femme atteinte de trouble bipolaire vivant avec son amant Gordon dans une maison de transition à Montréal appelée Chez Lise. Avec un ami de longue date, James Galwey, nous avons coréalisé mon deuxième long métrage, Chez Lise, en 2013. Ce film relate l’histoire de Deanna et Gordon, tous deux atteints de maladie mentale grave. Chez Lise a remporté le premier prix du festival du film de Liège pour la santé mentale.
Depuis 2015, j'habite en Chine, où j'enseigne le documentaire à l'Académie du Film de Beijing, au campus de Qingdao, où je suis aussi mentor. Je donne des cours sur les documentaires au niveau de la première et la deuxième année d’étude. J'ai également encadré Helena avec son film Jean et Tao Gu avec Taming the Horse, qui a remporté de nombreux prix à travers le monde - voir site web: www.tellastoryfilms.com
Mon dernier long métrage, The Sea Hut, une coproduction chinoise, est en post-production et devrait être terminé à l'hiver 2018.
Je continue à travailler sur les archives de Stanley Lewis qui sont hébergées sur le site web Stanley Lewis, assistée d’Andrew Bailey, dans l’intention de rédiger un livre, car Stanley m’a donné le droit d’utiliser ses œuvres, ses paroles et ses supports avant sa mort. (À l'heure actuelle, le site web est uniquement en anglais). Ce sera une archive exhaustive sur Stanley Lewis, car à sa mort j’ai sauvé le plus possible de son atelier et de des effets personnels qui avaient été jetés si cruellement sur le trottoir. Mais ceci, bien sûr, est une autre histoire, à raconter plus tard, beaucoup plus tard.
Helena
J'ai grandi dans le Kent en Angleterre et à l’âge de 27 ans je suis venue vivre dans la région de Languedoc-Roussillon, au sud de la France. En 1991, inspirée par le concept innovateur de l’association britannique The Arvon Foundation, qui dirige des ateliers d’écriture résidentiels, j’ai créé l’association La Belle Auriole dans un vieux mas catalan où j'ai géré un lieu de résidence international pour artistes et écrivains. C’est là que j’ai habité pendant 15 ans avec mes deux enfants.
Au fil des ans La Belle Auriole a établi des partenariats avec des organismes tels que l’UNESCO et RES ARTIS, et a organisé un programme annuel d’évènements culturels. Cela m’a mise en contact avec de nombreux artistes, écrivains et musiciens internationaux, parmi lesquels quelques-uns m’ont accompagné dans mes explorations cinématographiques.
Aussi, pendant cette période, mon ami, le poète John Fairfax m’a encouragé à publier mes poèmes. Son soutien m’a permis de m’accepter en tant qu’artiste pour la première fois, puis à réaliser mon premier film court documentaire sans aucune expérience préalable dans le cinéma.
Le Dernier Jour à Rivesaltes se déroule au fil d'un seul poème, interprété en différentes langues (français, catalan, basque, espagnol, arabe, bulgare et anglais), dansé, chanté ou récité , pour redonner voix à toutes les personnes qui en tant qu'internés du Camp de Rivesaltes, un ancien camp de concentration près de là où j'habitais, entre 1941 et 1770, y ont souffert, y sont morts ou furent déportés de cet endroit vers les camps de la mort.
Ce film - qui a été inspiré par la découverte, en 1997, des archives du Camp de Rivesaltes, à la décharge municipale de Perpignan - a été présenté en première au Festival des Films du Monde à Montréal, Québec, suivi par des projections in situ dans le camp ainsi qu'à L’Imperial War Museum de Londres. Par la suite, en 2012, il a rejoint la série Passeport International de films en VOD au Radio Canada International.
J’habite maintenant dans un village viticole niché dans le paysage aromatique de la garrigue au pied des Corbières. Fin 2010, ayant effectué une courte formation de cinéma au sein de l'association Cinémaginaire, j'ai commencé les tournages de mon documentaire Jean Capdeville: Voyage vers le Noir. Cette fois-ci, encouragée par Jeanne, c'était moi derrière la caméra.
J'avais déjà rencontré le peintre catalan Jean Capdeville lors des concerts à La Belle Auriole. Cependant, ma première rencontre avec ses peintures de taille murale, s'est produite à l'occasion d'une exposition en hommage à sa mère en 1992. C’était un moment fort. J'ai voulu en connaître plus sur lui, ses influences et ses motivations pour peindre et puis raconter son histoire. Par la suite, Jean m'a donné l'autorisation de réaliser un film et Chantal Marchon m'a proposé d'utiliser les rushes de ses interviews-vidéos avec Jean.
Le film vient d’être terminé à travers une campagne de crowdfunding mené sur ULELE pour faire face au montage et mixage.
Pour plus d'informations et de mises à jour, veuillez visiter notre page EVENEMENTS.
Le concept de FILM BANDITS est né en chemin: L'idée d'amener des films hors festivals, y compris des courts-métrages dans les villages des Corbières afin de surprendre et divertir.
Je débute mes recherches pour un nouveau projet de film.
J'ai grandi dans le Kent en Angleterre et à l’âge de 27 ans je suis venue vivre dans la région de Languedoc-Roussillon, au sud de la France. En 1991, inspirée par le concept innovateur de l’association britannique The Arvon Foundation, qui dirige des ateliers d’écriture résidentiels, j’ai créé l’association La Belle Auriole dans un vieux mas catalan où j'ai géré un lieu de résidence international pour artistes et écrivains. C’est là que j’ai habité pendant 15 ans avec mes deux enfants.
Au fil des ans La Belle Auriole a établi des partenariats avec des organismes tels que l’UNESCO et RES ARTIS, et a organisé un programme annuel d’évènements culturels. Cela m’a mise en contact avec de nombreux artistes, écrivains et musiciens internationaux, parmi lesquels quelques-uns m’ont accompagné dans mes explorations cinématographiques.
Aussi, pendant cette période, mon ami, le poète John Fairfax m’a encouragé à publier mes poèmes. Son soutien m’a permis de m’accepter en tant qu’artiste pour la première fois, puis à réaliser mon premier film court documentaire sans aucune expérience préalable dans le cinéma.
Le Dernier Jour à Rivesaltes se déroule au fil d'un seul poème, interprété en différentes langues (français, catalan, basque, espagnol, arabe, bulgare et anglais), dansé, chanté ou récité , pour redonner voix à toutes les personnes qui en tant qu'internés du Camp de Rivesaltes, un ancien camp de concentration près de là où j'habitais, entre 1941 et 1770, y ont souffert, y sont morts ou furent déportés de cet endroit vers les camps de la mort.
Ce film - qui a été inspiré par la découverte, en 1997, des archives du Camp de Rivesaltes, à la décharge municipale de Perpignan - a été présenté en première au Festival des Films du Monde à Montréal, Québec, suivi par des projections in situ dans le camp ainsi qu'à L’Imperial War Museum de Londres. Par la suite, en 2012, il a rejoint la série Passeport International de films en VOD au Radio Canada International.
J’habite maintenant dans un village viticole niché dans le paysage aromatique de la garrigue au pied des Corbières. Fin 2010, ayant effectué une courte formation de cinéma au sein de l'association Cinémaginaire, j'ai commencé les tournages de mon documentaire Jean Capdeville: Voyage vers le Noir. Cette fois-ci, encouragée par Jeanne, c'était moi derrière la caméra.
J'avais déjà rencontré le peintre catalan Jean Capdeville lors des concerts à La Belle Auriole. Cependant, ma première rencontre avec ses peintures de taille murale, s'est produite à l'occasion d'une exposition en hommage à sa mère en 1992. C’était un moment fort. J'ai voulu en connaître plus sur lui, ses influences et ses motivations pour peindre et puis raconter son histoire. Par la suite, Jean m'a donné l'autorisation de réaliser un film et Chantal Marchon m'a proposé d'utiliser les rushes de ses interviews-vidéos avec Jean.
Le film vient d’être terminé à travers une campagne de crowdfunding mené sur ULELE pour faire face au montage et mixage.
Pour plus d'informations et de mises à jour, veuillez visiter notre page EVENEMENTS.
Le concept de FILM BANDITS est né en chemin: L'idée d'amener des films hors festivals, y compris des courts-métrages dans les villages des Corbières afin de surprendre et divertir.
Je débute mes recherches pour un nouveau projet de film.